SPIRULINE ET FATIGUE, LA PREUVE PAR L’EXPÉRIENCE

SPIRULINE ET FATIGUE, LA PREUVE PAR L’EXPÉRIENCE

La spiruline contient la grande majorité des micronutriments dont notre métabolisme a besoin pour fonctionner de manière optimale. Toute déficience d'apport alimentaire de ces micronutriments affaiblit le potentiel métabolique et par conséquent limite certaines fonctions de l'organisme. Cela peut se traduire par un ralentissement mental, une diminution des performances physiques ou une sensation de fatigue. Il est donc logique que la spiruline ait un effet favorable dans toutes ces situations.

Étude clinique

Dans le monde vivant, il y a parfois un décalage entre la logique biologique et les faits observés, c'est pourquoi la validation d'un effet repose sur des preuves expérimentales.

Les effets de la spiruline ont ainsi été vérifiés par une étude sur 17 volontaires en la comparant à un placebo, la prise de l'un ou de l'autre étant tirée au sort et inconnue aussi bien des sujets que des expérimentateurs qui sont en contact avec eux. La dose testée était de 3 grammes par jour pendant 8 semaines.

On relève parmi les effets validés par des tests standardisés :

• une amélioration des performances intellectuelles dès 4 heures après la première prise, et durable pendant les 8 semaines.

• une diminution de la sensation de fatigue dès 4 heures après la première prise, et durable pendant les 8 semaines.

Des applications concrètes

La spiruline confirme donc qu'elle est une alliée précieuse pour les situations qui nous demandent davantage d'efforts, et ceci autant sur le plan physique (pour réduire la sensation de fatigue) que sur le plan intellectuel (pour améliorer les performances).

On peut donc attendre des effets bénéfiques pour la préparation d'examens, les périodes de changement ou de surplus de travail, les situations qui nous demandent de disposer de notre meilleur potentiel.

La dose minimale est de 3 grammes par jour, et les effets peuvent être améliorés avec 5 grammes par jour.

La spiruline n'est en revanche pas une solution de première intention pour la maladie chronique, celle-ci pouvant être le signe révélateur d'une maladie profonde. Dans ce contexte, le diagnostic médical est la priorité. Le retarder pourrait avoir des conséquences sur le succès du traitement spécifique.